Réalisé par Oz Media – société de communication – Riorges.
Et lediaporamaqui rappelle les diverses phases de l’événement,
à la librairie ou au cinéma.
Jeudi 24/11/16
A J+5 …
Sous l’écran, la page: autour de Philippe CLAUDEL
les intervenants des RENCONTRES cinéma et littérature
Paul JEUNET, Pascal CHANTIER, Jean-Baptiste HAMELIN, Philippe CLAUDEL, Marie-Laure ARCHER, Christelle HAMELIN, Marie-Chantal LATOUR, Paul GIRAUD, Charles GAUBERT
Jeudi 24/11/16
A J+4 …
Décidément, le succès deSous l’écran la pagene se mesure pas qu’au regard de la bonne fréquentation du Cinéma les Halles et de la librairie Le Carnet à spirales, au cours des 3 journées d’événement ; il se mesure aussi à la manière dont la presse en a largement rendu compte. Dernier article paru, dans le Pays Roannais, de ce jeudi 24 novembre, alors que les souvenirs ne sont pas encore évanouis :
Mercredi 23/11/2016
A J+3 …
La presse continue à couvrir l’événement.
La première édition deSous l’écran la page est close mais, à Charlieu, on continue d’en parler comme d’un événement culturel 2016 important qui a marqué les esprits des participants.
La réalité a au moins atteint -sinon dépassé- les intentions deux deux organisateurs.
Et si on s’attarde à ce que dit Philippe CLAUDEL dans l’interview accordée au Progrès (ci-dessous), il y a comme une forte incitation à poursuivre !
Le Progrès – édition de Roanne – 23.11.16
Mardi 22/11/16
A J+2 … Le déroulement des trois jours de Sous l’écran, la page n’a pas permis d’actualiser le site. L’urgence, c’était l’écoute des lectures, les projections des films, l’intensité des échanges. .
Le public a répondu présent, quoi de mieux ? L’idée de ce croisement entre la littérature et le cinéma a fortement intéressé, passionné même. Les témoignages et les messages reçus depuis ne trompent pas. Ils sont même nombreux ceux qui ont souhaité une seconde édition … voire demandé à quelle date elle aurait lieu !
Philippe CLAUDEL a été un invité de grande classe.
Son talent d’écrivain et de cinéaste, nous le connaissions bien. Il l’a manifesté encore plus intensément, enprésentant bien d’autres facettes de sa personnalité :simplicité, sympathie, humour, sincérité … Sans parler du plaisir de l’entendre évoquer ses personnages, rapporter des anecdotes de plateau de tournage oucommenterles sujets graves qu’il traite.Bref un homme d’une rare générosité.
Merci et chapeau Monsieur CLAUDEL.
Quelques moments de ces belles journées :
– au Carnet à spirales, aux côtés de Jean-Baptiste et Marie–Laure pour parler de son dernier livre L‘arbre du pays Toraja, de l’Enquête ou du Rapport de Brodeck
– au Cinéma les Halles, pour les présentations de chaque film et engager l’échange avec le public ou dialoguer avec Charles Gaubert, Paul Giraud ou Jean-Michel Denis.
Ci-dessous avec Laurent Godel venu analyser quelques belles séquences du film Avant l’hiver, etpoursuivre la discussion avec le cinéaste.
– Dans la petite salle, où après le film Il y a longtemps que je t’aime – passé en 35 mm pour respecter l’œuvre originale de l’auteur – s’est engagé l’échange avec les spectateurs impressionnés et émus
– dans le hall du Cinéma, où se poursuivaient les discussions : ci-dessous Jean-Michel Denis s’entretenant avec Marie-Chantal Latour.
Elle venait, face à un public plus restreint mais très attentif, de porter le regard sur l’ensemble de l’œuvre littéraire de Philippe Claudel, avec un remarquable esprit de synthèse. Mélange d’idées, d’impressions, de citations… Mise en valeur des sentiments, des réflexions sur les hommes et l’humanité. Accent porté sur les innombrables métaphores ou autres procédés littéraires qui caractérisent tel livre, choix des thèmes, des genres etc. En quelque sorte une présentation en forme de zoom sur des pages à lire et à relire.
Il faudrait pour être complet parler des projections des autres films qui ont également attiré l’attention d’un nombreux public ; films parfois exigeants mais combien passionnants tel La dolce vita de Federico Fellini ou Hiroshima mon amour, d’Alain Resnais. Ce dernier, présenté et commenté par Paul Jeunet a été suivi passionnément … et ce n’est que l’heure tardive -au moment du déjeuner- qui a contraint de mettre un terme à la brillante analyse.
Dommage, le photographe n’était plus là pour immortaliser ce moment. Mais c’est le seul petit regret !
Vendredi 18/11/16
C’est le « Jour J » deSous l’écran la page, l’édition du Progrès met à l’honneur le festival charliendin qui débute à 17h30 et où littérature et cinéma se rencontrent !
Jeudi 17/11/16
A « J-1 » de Sous l’écran la page, le Pays Roannais consacre une large place à la manifestation attendue à CHARLIEU :
* l’interview de l’invité d’honneur, Philippe CLAUDEL, interrogé par un journaliste de la rubrique culturelle.
*celle des deux organisateurs Paul GIRAUD -Le Cinéma les Halles- et Jean-Baptiste HAMELIN -Le Carnet à spirales-.
Vendredi 11/11/16
A « J-8 » de Sous l’écran la page, la rubrique du Pays Roannais annonce à nouveau l’événement littéraire et cinématographique, pour en rappeler succinctement le contenu et les informations pratiques. Voyez par vous-même….
Vendredi 4/11/16
Tandis que l’actualité littéraire nous informe que l’Académie GONCOURT -dont Philippe CLAUDEL est membre- a décerné son célèbre prix à
Leïla SLIMANI pour son roman chanson douce,
le PROGRÈS de la LOIRE de ce vendredi 4 novembre présente
SOUS L’ECRAN LA PAGE Rencontres du cinéma et de la littérature
La manifestation charliendine se prépare. Les contacts et les premières réservations traduisent déjà un réel engouement. Alors les organisateurs croisent les doigt pour faire de cette première édition une réelle réussite.
Le jury avait invité la Maire de Paris à partager un moment avec eux, dans le célèbre restaurant Drouant.
Anne Hidalgo, aux côtés de Bernard Pivot
Ils ne sont désormais plus que huit candidats à concourir. Plusieurs se retrouvent dans d’autres sélections, dont notamment Gaël Faye, le plus sélectionné, pour son premier roman inspiré de son enfance rwandaise. Ce sont :
Catherine Cusset – L’Autre qu’on adorait – Gallimard J-Baptiste Del Amo – Règne animal – Gallimard Jean-Paul Dubois – La Succession – L’Olivier Gaël Faye – Petit Pays – Grasset Frédéric Gros – Les Possédées – Albin Michel Régis Jauffret – Cannibales – Seuil Luc Lang – Au commencement du septième jour – Stock Leila Slimani – Chanson Douce – Gallimard
Le lauréat sera connu dans moins d’un mois.
17/09/16
Un projet de film long métrage pour Philippe Claudel ?
Nous n’en avions pas eu la confidence mais Pierre Arditi a vendu la mèche !
Le célèbre acteur, interviewé à l’occasion de l’arrêt du « Sang des vignes » (série de 22 épisodes passée sur France 3, réunissant entre 3 et 4 millions de spectateurs) a parlé de ses projets, disant :
« Au théâtre, je jouerai en janvier avec Didier Bezace, dans une adaptation du roman de Jean Paul Dubois, « Le cas Sneijder » ; ensuite je tournerai dans un grand métrage de Philippe Claudel puis dans une comédie pour la télévision avec mon épouse Évelyne Bouix. Et d’autres choses encore… »
Quel sera le sujet de ce film ? Dans quel délai sera-t-il tourné ?
Nous en saurons sans doute plus, dans quelques semaines, si Philippe Claudel veut bien lever quelques secrets!
Philippe Claudel, membre de l’Académie Goncourt et parrain de nos Rencontres Ciné et Littérature de novembre, est actuellement un des principaux acteurs du Premier salon national de la rentrée littéraire (Nancy – 8/10 septembre).
Au cœur d’une manifestation foisonnante, avec colloques, lectures, émissions-radio, etc, ; au milieu d’invités de prestige -écrivains, acteurs ou journalistes, tels que Jacques Gamblin, James Ellroy, Elisabeth Badinter, Hubert Reeves ou François Lenglet- il aura l’honneur de la Promenade inaugurale auprès du maire de Nancy.
Dans le dernier magazine de la ville de Nancy, il nous livre ce petit texte de présentation. A savourer sans modération :
« Depuis des décennies désormais, les perpétuels nomades que sont les écrivains sont invités à installer leur campement aux beaux jours de septembre sur les places royales de Nancy. Ils en sont alors les monarques temporaires, célébrés et chéris, et la foule vient visiter ces vagabonds qui ne sont riches que de mots, de poésie et de pensée. Il y a ainsi durant un long week-end une fête profonde, joyeuse, simple et populaire, une fête qui rend possible les noces du nombre et de l’esprit, une fête pleine d’humanité et de franchise. »
« Une fête profonde, joyeuse, simple et populaire » ? C’est juste, à notre modeste échelle, ce dont nous rêvons pour novembre.